Et dans ses veines coulait la sève...
Mieux vaut tard que jamais, dit le proverbe. Même si, là, c'est très tard...
Après les soucis de publication de ma chronique Lu pour vous rencontrés au printemps dernier, j'ai profité de la remise du Prix Nobel de Littérature à la nouvelliste Alice Munro pour redonner au Dauphiné Libéré ma chronique de l'excellent recueil d'Emmanuelle Cart-Tanneur "Et dans ses veines coulait la sève" paru chez Terre d'Auteurs, en l'adaptant à cette actualité littéraire.
J'ai eu plus de chance cette fois-ci puisque la chronique est parue aujourd'hui mais assez amputée!... comme vous pourrez vous en rendre compte. Bon. L'essentiel est qu'elle soit parue, me direz-vous peut-être. Mais moi, je suis quand même déçue dans la mesure où ce texte me parait bien incomplet...