Rencontre avec Jean-Paul Froustey
Ce n'est un secret pour personne sur ce blog, j'aime lire. Et, ces derniers temps en particulier, beaucoup en numérique sur ma liseuse Kobo. Aussi, lorsque, la semaine dernière, les éditions Lucien Souny ont organisé un petit jeu concours sur leur page Facebook Des mots à partager pour gagner la version numérique du dernier roman de Jean-Paul Froustey, Une vie à se racheter, paru dans la collection Le chant des pays, j'ai tenté ma chance... et gagné!
Tout concordait avec mes attentes en matière littéraire. J'aime découvrir de nouvelles plumes (et chez Souny, je n'avais aucun doute sur la qualité d'écriture) et j'apprécie de lire en numérique, qui plus est en avant-première puisque ce roman ne paraîtra dans sa version "papier" qu'à l'automne, crise sanitaire oblige.
Outre le mail m'annonçant que j'avais gagné ce roman et m'invitant à le télécharger, j'ai également reçu une invitation à participer en ligne à une rencontre avec l'écrivain, des lecteurs, des auteurs "Souny" et l'éditrice, Véronique Thabuis.
Les rencontres en ligne, vous le savez aussi, je les ai découvertes pendant la crise, notamment pour assister à quelques-unes proposées pendant le Salon du livre de Turin qui testait ici une nouvelle organisation virtuelle. Et puis je manie de mieux en mieux l'outil informatique depuis que je suis passée en télétravail.
C'est donc avec grand plaisir que j'ai accepté de me joindre à cette rencontre lundi en fin de journée sur écrans interposés. Menée aisément par Véronique Thabuis, cette rencontre m'a permis d'écouter l'écrivain Jean-Paul Froustey nous parler non seulement de son roman "Une vie à se racheter", une histoire forte et prenante, passionnante de bout en bout, dont je vous parlerai plus longuement dans quelques jours, mais aussi de son oeuvre littéraire déjà bien conséquente avec une douzaine de romans à son actif parmi lesquels j'en ai noté deux-trois à lire.
Mais cette rencontre m'a aussi donné l'occasion, et j'en suis pas peu fière, d'évoquer mon approche de la lecture et de ses différents supports : papier bien évidemment (je reste une inconditionnelle), numérique avec tous les avantages et conforts de lecture que les liseuses nous offrent et audio, de loin la plus relaxante puisqu'il n'y a qu'à écouter et se laisser emporter par l'histoire et ses mots.
Les éditions Souny se tournent à présent vers ces nouvelles façons de lire et de créer de nouveaux liens entre écrivains et lecteurs et je ne peux que les y encourager. Je pense, et suis de plus en plus convaincue, qu'il y a de nouvelles voies à explorer dans ce domaine. Il y va de l'avenir de l'édition, de la création littéraire et de la culture.
Et vous, qu'en pensez-vous?