Scarlett, si possible
On ne présente plus Katherine Pancol. Tout le monde ou presque a lu ses romans ou, pour le moins, en a entendu parlé.
Moi, j'ai fait sa connaissance en 1998 avec "Encore une danse". Immédiatement séduite par son écriture et sa manière de raconter des histoires qui en deviennent belles de par leur banalité, j'ai emprunté en médiathèque et lu plus ou moins tout ce qu'elle avait écrit précédemment. Puis je l'ai suivie au fur et à mesure de ses publications. "Et monter lentement dans un immense amour", "Les yeux jaunes des crocodiles" ou encore "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi" m'ont aussi émue.
Je vous laisse imaginer mon petit bonheur du jour alors que je lis "Scarlett, si possible" roman qui s'est vendu à plus de 400 000 exemplaires et qui fait partie des Points d'Or des éditions Points que je découvre aujourd'hui.
Mai 68 est encore dans tous les esprits lorsque Martine, Bénédicte et Juliette, tout juste 18 ans, décident de venir vivre à Paris.
Trois copines, trois vies et des aspirations tout aussi variées. C'est tout ça et tellement plus encore que nous fait partager Katherine Pancol à travers cette analyse de la société française à la fin des années 1960.
Une étude des caractères très poussée, une étude des moeurs de cette époque quasi révolutionnaire et des
destinées plutôt malmenées qu'on a envie d'accompagner et d'encourager malgré tout...
C'est ce que je fais!