Le bonheur à l'italienne
Début juillet, je me suis laissée tenter par le sympathique challenge lancé par Fashion "les Harlequinades 2009". Derrière ce nom à haute consonance littéraire, se cachait le pari insensé d'oser lire un roman du
célèbre éditeur Harlequin et en faire le compte-rendu sur son blog.
Parce que le ridicule ne tue pas et que je suis toujours partante pour rire un bon coup, j'ai souhaité participé et j'ai donc lu "Le bonheur à l'italienne" de Lucy Gordon paru dans la collection Horizon et évidemment fait pour moi!
Angel Clannan est en plein divorce d'un riche américain, Joe, qui, comme cadeau de rupture, vient d'offrir à la jeune femme la jolie maison stylisée et située sur une immense propriété de citronniers à l'abri d'une île immergée au large de l'Italie que sa très jeune et nouvelle maîtresse vient de refuser avec dédain.
Angel ou plutôt Angela de son vrai prénom qu'elle avait américanisée pour plaire à son cher mari croit pouvoir trouver sur cette île le bonheur et la paix auxquels elle aspire fortement. Mais c'est compter sans la présence de Vittorio Tazzini son arrogant voisin, beaucoup trop séduisant pour être honnête!
Dès leur première rencontre, dans la chambre de la jeune femme qui est, en fait, l'ancienne chambre de Vittorio, les relations entre eux s'avèrent des plus électriques, voire explosives même! Et pour cause! Vittorio est l'ancien propriétaire des lieux qui a été contraint de vendre à un prix dérisoire pour éponger les dettes d'un ami. C'est dire s'il encaisse mal de ne plus pouvoir profiter pleinement de son splendide domaine et l'exploiter comme il l'entend. La pilule, si je puis dire, est d'autant plus dure à avaler que cette propriété lui a été "arrachée" au profit d'une pimbêche idiote et incapable de quoi que ce soit. Du moins c'est ce qu'il s'obstine à vouloir penser!... Car, de quiproquos en méprises, d'accrochages verbaux en rapprochements involontaires, il apparaît de plus en plus évident que les deux jeunes gens sont faits pour s'entendre. Du moins ça l'est pour nous, mais pas pour eux. Eux, les pauvres, autant elle que lui, ils ne comprennent pourquoi ils ont autant de mal à se parler sans que leurs discussions, ou même, leurs disputes, ne se terminent invariablement par un fougueux baiser. Et ce n'est pas l'arrivée tant attendue de Sam, le grand-père d'Angéla sur lequel elle s'est engagée à toujours veiller, qui va arranger leur affaire. D'abord, lorsqu'elle parle de Sam, Angéla ne juge pas utile de préciser qui il est. Ce qui, bien sûr, laisse la voie ouverte à toutes les suppositions dont Vittorio ne se prive pas! Ensuite, ayant engagé le jeune homme comme jardinier et homme à tout faire sur la propriété, Angéla commet bévue sur bévue dans ses préparatifs pour accueillir son grand-père âgé et malade dans les meilleurs conditions possibles. Elle ne sait pas, elle, que Vittorio la couve des yeux dès qu'elle a le dos tourné. Et lui, pauvre gars, il n'entend pas les soupirs énamourés qui empêchent quasiment Angéla de respirer en sa présence, et même quand il n'est pas là!
Mais nous, lecteurs ET lectrices attentives, on devine tout, malins que nous sommes et on peut même parier, sans craindre de perdre, que ces deux-là vont finir leurs vies ensemble! Et avec la complicité de Sam, en plus!!!
Parce que le ridicule ne tue pas et que je suis toujours partante pour rire un bon coup, j'ai souhaité participé et j'ai donc lu "Le bonheur à l'italienne" de Lucy Gordon paru dans la collection Horizon et évidemment fait pour moi!
Angel Clannan est en plein divorce d'un riche américain, Joe, qui, comme cadeau de rupture, vient d'offrir à la jeune femme la jolie maison stylisée et située sur une immense propriété de citronniers à l'abri d'une île immergée au large de l'Italie que sa très jeune et nouvelle maîtresse vient de refuser avec dédain.
Angel ou plutôt Angela de son vrai prénom qu'elle avait américanisée pour plaire à son cher mari croit pouvoir trouver sur cette île le bonheur et la paix auxquels elle aspire fortement. Mais c'est compter sans la présence de Vittorio Tazzini son arrogant voisin, beaucoup trop séduisant pour être honnête!
Dès leur première rencontre, dans la chambre de la jeune femme qui est, en fait, l'ancienne chambre de Vittorio, les relations entre eux s'avèrent des plus électriques, voire explosives même! Et pour cause! Vittorio est l'ancien propriétaire des lieux qui a été contraint de vendre à un prix dérisoire pour éponger les dettes d'un ami. C'est dire s'il encaisse mal de ne plus pouvoir profiter pleinement de son splendide domaine et l'exploiter comme il l'entend. La pilule, si je puis dire, est d'autant plus dure à avaler que cette propriété lui a été "arrachée" au profit d'une pimbêche idiote et incapable de quoi que ce soit. Du moins c'est ce qu'il s'obstine à vouloir penser!... Car, de quiproquos en méprises, d'accrochages verbaux en rapprochements involontaires, il apparaît de plus en plus évident que les deux jeunes gens sont faits pour s'entendre. Du moins ça l'est pour nous, mais pas pour eux. Eux, les pauvres, autant elle que lui, ils ne comprennent pourquoi ils ont autant de mal à se parler sans que leurs discussions, ou même, leurs disputes, ne se terminent invariablement par un fougueux baiser. Et ce n'est pas l'arrivée tant attendue de Sam, le grand-père d'Angéla sur lequel elle s'est engagée à toujours veiller, qui va arranger leur affaire. D'abord, lorsqu'elle parle de Sam, Angéla ne juge pas utile de préciser qui il est. Ce qui, bien sûr, laisse la voie ouverte à toutes les suppositions dont Vittorio ne se prive pas! Ensuite, ayant engagé le jeune homme comme jardinier et homme à tout faire sur la propriété, Angéla commet bévue sur bévue dans ses préparatifs pour accueillir son grand-père âgé et malade dans les meilleurs conditions possibles. Elle ne sait pas, elle, que Vittorio la couve des yeux dès qu'elle a le dos tourné. Et lui, pauvre gars, il n'entend pas les soupirs énamourés qui empêchent quasiment Angéla de respirer en sa présence, et même quand il n'est pas là!
Mais nous, lecteurs ET lectrices attentives, on devine tout, malins que nous sommes et on peut même parier, sans craindre de perdre, que ces deux-là vont finir leurs vies ensemble! Et avec la complicité de Sam, en plus!!!