Une belle rencontre
Cette après-midi avec Aurore, nous sommes allées jusqu'aux Cafés littéraires qui se tenaient depuis jeudi à Montélimar.
Outre le fait que ces rencontres se déroulent le long des avenues provençales, ce qui y ajoute une note bien agréable, nous avons pu rencontrer des personnes très sympathiques et ouvertes à la discussion et aux échanges.
Cela a été notamment le cas avec Solenn Colleter qui a pris le temps, après avoir participé à sa première table-ronde en tant qu'écrivain, de revenir avec nous jusqu'au stand où se trouvaient ses livres pour m'en dédicacer un bien volontiers. Et cela malgré le fait qu'elle devait encore rentrer sur Toulouse en faisant un détour par l'Aude pour retrouver sa famille, soit quelques sept à huit heures de route! Si ce n'est pas de la gentillesse liée à un professionnalisme certain, j'en perds mon latin!
Son roman "Je suis morte et je n'ai rien appris" publié chez Albin Michel traite du bizutage. Je vous livre la quatrième de couverture et vous en parlerai plus longuement dès que je l'aurai lu :
"Les bizuts doivent mourir pour apprendre à renaître. Sauf moi, qui resterai seule et incomprise: j'ai succombé à une barbarie qui n'a jamais eu lieu. Je suis morte et je n'ai rien appris." Impressionnant non? Après une telle accroche, on a forcément envie d'en savoir plus!
Des rencontres comme celle-ci, je veux bien en faire tous les jours! Surtout qe d'après ce que m'a dit Solenn "à Toulouse, nous sommes quelques unes à écrire!"
Alors Mesdames les écrivains toulousaines, je vous attends... à commencer par la généreuse Patricia Parry!
Outre le fait que ces rencontres se déroulent le long des avenues provençales, ce qui y ajoute une note bien agréable, nous avons pu rencontrer des personnes très sympathiques et ouvertes à la discussion et aux échanges.
Cela a été notamment le cas avec Solenn Colleter qui a pris le temps, après avoir participé à sa première table-ronde en tant qu'écrivain, de revenir avec nous jusqu'au stand où se trouvaient ses livres pour m'en dédicacer un bien volontiers. Et cela malgré le fait qu'elle devait encore rentrer sur Toulouse en faisant un détour par l'Aude pour retrouver sa famille, soit quelques sept à huit heures de route! Si ce n'est pas de la gentillesse liée à un professionnalisme certain, j'en perds mon latin!
Son roman "Je suis morte et je n'ai rien appris" publié chez Albin Michel traite du bizutage. Je vous livre la quatrième de couverture et vous en parlerai plus longuement dès que je l'aurai lu :
"Les bizuts doivent mourir pour apprendre à renaître. Sauf moi, qui resterai seule et incomprise: j'ai succombé à une barbarie qui n'a jamais eu lieu. Je suis morte et je n'ai rien appris." Impressionnant non? Après une telle accroche, on a forcément envie d'en savoir plus!
Des rencontres comme celle-ci, je veux bien en faire tous les jours! Surtout qe d'après ce que m'a dit Solenn "à Toulouse, nous sommes quelques unes à écrire!"
Alors Mesdames les écrivains toulousaines, je vous attends... à commencer par la généreuse Patricia Parry!