La femme du 5e
Encore une histoire bouleversante contée avec grand talent par le brillant Douglas Kennedy!
Publié chez Belfond, «la femme du 5e» nous fait faire connaissance avec Harry Ricks. Fraîchement débarqué à Paris, cet américain nous semble au premier abord complètement déboussolé. On comprend vite qu’il traîne derrière lui une lourde histoire. Il a tout quitté, sa femme, sa petite fille chérie et sa carrière de professeur pour commencer une nouvelle vie dans notre capitale. Seulement cette nouvelle vie démarre de façon bien étonnante. A peine 24 heures après son arrivée, voilà qu’il tombe très malade. Il subit le contrecoup de son départ visiblement et est obligé de rester plus longtemps que prévu dans l’hôtel de seconde zone où il a atterri. Il ne doit alors son salut qu’à la générosité d’un émigré clandestin turc Adnan qui le prend sous sa protection mais pas pour longtemps, hélas! Adnan est arrêté et renvoyé dans son pays. Harry finit par atterrir dans une chambre de bonne miteuse et pense alors avoir vraiment touché le fond.
Mais c’est bien quand on croit être au bout du rouleau qu’on s’imagine pouvoir remonter la pente. Et pour Harry, la porte du salut lui apparaît en la personne de Margit, une jeune hongroise très belle avec qui il croit trouver un nouvel amour. Seulement celle-ci émet certaines conditions à leurs rendez-vous. Ceux-ci ne pourront avoir lieu que deux fois par semaine à 17 heures dans son appartement du 5e arrondissement. Et surtout Harry ne doit lui poser aucune question sur sa vie, son passé, son travail… Ayant bien du mal à lui résister, Harry accepte ces conditions. Mais bientôt d’étranges phénomènes commencent à se produire. Des coïncidences qui tombent trop bien pour être honnêtes… Alors qu’il croyait retrouver un peu de sérénité, Harry plonge insensiblement dans un nouveau cauchemar ô combien terrifiant et superbement mis en scène par un Douglas Kennedy au meilleur de sa forme.
Publié chez Belfond, «la femme du 5e» nous fait faire connaissance avec Harry Ricks. Fraîchement débarqué à Paris, cet américain nous semble au premier abord complètement déboussolé. On comprend vite qu’il traîne derrière lui une lourde histoire. Il a tout quitté, sa femme, sa petite fille chérie et sa carrière de professeur pour commencer une nouvelle vie dans notre capitale. Seulement cette nouvelle vie démarre de façon bien étonnante. A peine 24 heures après son arrivée, voilà qu’il tombe très malade. Il subit le contrecoup de son départ visiblement et est obligé de rester plus longtemps que prévu dans l’hôtel de seconde zone où il a atterri. Il ne doit alors son salut qu’à la générosité d’un émigré clandestin turc Adnan qui le prend sous sa protection mais pas pour longtemps, hélas! Adnan est arrêté et renvoyé dans son pays. Harry finit par atterrir dans une chambre de bonne miteuse et pense alors avoir vraiment touché le fond.
Mais c’est bien quand on croit être au bout du rouleau qu’on s’imagine pouvoir remonter la pente. Et pour Harry, la porte du salut lui apparaît en la personne de Margit, une jeune hongroise très belle avec qui il croit trouver un nouvel amour. Seulement celle-ci émet certaines conditions à leurs rendez-vous. Ceux-ci ne pourront avoir lieu que deux fois par semaine à 17 heures dans son appartement du 5e arrondissement. Et surtout Harry ne doit lui poser aucune question sur sa vie, son passé, son travail… Ayant bien du mal à lui résister, Harry accepte ces conditions. Mais bientôt d’étranges phénomènes commencent à se produire. Des coïncidences qui tombent trop bien pour être honnêtes… Alors qu’il croyait retrouver un peu de sérénité, Harry plonge insensiblement dans un nouveau cauchemar ô combien terrifiant et superbement mis en scène par un Douglas Kennedy au meilleur de sa forme.