L'invité de la dernière heure
Désespérée par la mort de son mari, Rebecca Brandt se réfugie dans sa maison de Provence Elle est sur le
point de mettre fin à ses jours quand arrive Max, le meilleur ami de son mari, qui souhaite se recueillir sur la tombe de son ami et passer quelques jours de vacances en compagnie de la
jeune femme. Mais Max n’est pas seul. Marius et Inga, un jeune couple d’étudiants qu’il a pris en stop pendant son voyage, l’accompagnent. Du coup Rebecca se sent obligée de les recevoir tous les
trois et reporte à plus tard son funeste projet de se supprimer. Et si elle ouvre la porte de sa maison à Max, elle propose néanmoins aux deux jeunes gens d’installer leur tente de camping dans son
jardin. Est-ce une bonne idée ? Ce n’est pas si évident. Car si la cohabitation s’annonce sous les meilleurs auspices, force est pour Rebecca de déchanter très vite. En effet Marius qui
semblait si gentil, si gai et si accommodant se révèle peu à peu irascible et surtout devient de plus en plus agressif. Et cela, surtout envers Rebecca qui se rend compte finalement, mais un peu
tard, qu’elle n’aurait jamais du accepter ces invités surprises et finalement tellement indésirables. Mais va-t-elle seulement pouvoir s'en débarrasser? Et à quel prix?
Dans ce nouveau roman publié aux Presses de la Cité, l’auteur allemande Charlotte Link nous entraîne dans un engrenage sans fin. Pas moins de sept renversements de situation bouleverse le lecteur qui craint plus que jamais pour l’existence de la jeune Rebecca. Dans une écriture sobre et précise, Charlotte Link nous pousse dans nos derniers retranchements et on en vient à se demander si, tout compte fait, Rebecca n’aurait pas mieux fait de se suicider comme elle en avait l’intention avant d’ouvrir sa porte à ses inquiétants visiteurs. C’est une chose de vouloir se supprimer. C’en est une autre quand on devient une cible. Là se trouve toute la subtilité de ce beau et passionnant thriller.
Dans ce nouveau roman publié aux Presses de la Cité, l’auteur allemande Charlotte Link nous entraîne dans un engrenage sans fin. Pas moins de sept renversements de situation bouleverse le lecteur qui craint plus que jamais pour l’existence de la jeune Rebecca. Dans une écriture sobre et précise, Charlotte Link nous pousse dans nos derniers retranchements et on en vient à se demander si, tout compte fait, Rebecca n’aurait pas mieux fait de se suicider comme elle en avait l’intention avant d’ouvrir sa porte à ses inquiétants visiteurs. C’est une chose de vouloir se supprimer. C’en est une autre quand on devient une cible. Là se trouve toute la subtilité de ce beau et passionnant thriller.