Une virée en Italie?
S'il y a bien un bénéfice que je retire de la terrible pandémie que nous traversons encore, c'est la capacité de réaction qu'ont eu les éditeurs, les libraires et les auteurs/écrivains/romanciers en proposant des rencontres virtuelles via leurs sites ou les réseaux sociaux. J'ai ainsi pu assister à des rencontres auxquelles je n'aurais jamais pu assister sans cela. Et l'avantage, alors que la pandémie tend à reculer et que les rencontres "en vrai" recommencent, c'est que cette initiative continue.
Comme hier soir par exemple où, à 22h, avait lieu une rencontre entre Antonio Manzini et ses lecteurs, animée par Elvira Terranova, au cours de laquelle l'écrivain italien s'est entretenu sur la dernière enquête du vice-questeur Rocco Schiavone "le plus antipathique des commissaires préférés des italiens", comme l'écrivain l'a souligné avec humour. Enquête parue avant l'été chez Sellerio sous le titre "Vecchie conoscenze".
Un nouveau roman que je me suis offert il y a quelques petites semaines (avec deux ou trois autres) et que je vais lire très bientôt, Antonio Manzini ayant bien attisé mon intérêt et mon impatience hier.